mardi 12 novembre 2013

Réduction du risque d'inondation à Quimper : une thématique d'actualité


Date : Du 20 Octobre au 3 Novembre 2013
Lieu :  Quimper 29000 

Photo de groupe devant la Mairie avec le Président du Sivalodet et M. Paul Cancel 



Repère de crue officiel des
 inondations de Décembre 2000
Chaque année, les étudiants du Master GCRN effectuent un diagnostic de terrain dans un territoire exposé aux risques d’inondation. Si l’intérêt pour les étudiants est avéré, cette année l’enjeu est d’autant plus important : dans le cadre de son deuxième PAPI (Programme d’Actions de Prévention contre les Inondations), la Mairie de Quimper a décidé de faire appel aux étudiants du Master 2 GCRN, pour effectuer une campagne de diagnostics de vulnérabilité du bâti et des personnes.
Repère de crue original,
 trouvé à l’intérieur d’une maison
Pendant les vacances de la Toussaint, les étudiants se sont déplacés jusqu’à Quimper pour endosser le rôle d’enquêteurs, à l’échelle de chaque enjeu. Après un accueil par les élus, une présentation du contexte hydrologique local par les ingénieurs locaux a permis de mieux comprendre les conséquences et choix politiques faits, suite à l’inondation de 2000. Si des travaux ont été effectués pour se protéger des crues décennales, des mesures de protection à l’échelle de chaque logement ou commerce peuvent réduire les impacts négatifs d’une inondation et favoriser un retour à la normale plus rapide.
Rue Guy Autret, Quartier de l’Hippodrome,
 fortement impactée par les dernières inondations

C’est pourquoi, des enquêtes par questionnaires ont pu être réalisées par binôme sur un peu moins de 500 habitats et commerces. Les résultats sont combinés dans un rapport qui dresse des analyses sur la conscience du risque et les vulnérabilités économiques, structurelles (du bâti notamment) et humaines des enjeux exposés. Les différentes échelles d’étude – celles de l’habitat ou du commerce, du quartier, de la ville – ont également permis de faire des préconisations, pour la mise en place de mesures de protection, afin de réduire les différents facteurs de vulnérabilité pour les Quimpérois.

Oui, nous étions en Bretagne !











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